En sociologie, on réfléchit à bien des choses et entre autre à la manière dont les être humains cohabitent ensemble, profitent ensemble des services offerts par la société, etc.
Vous le savez très bien, aujourd'hui, le racisme, les LGBT-phobie, l'islamophobie, le sexisme, l'antisémitisme, tout cela existe toujours (et encore, je n'ai parlé que des plus courants).
Le vivre ensemble n'est pas acquis de partout et on réclame encore et toujours l'intégration de tous dans la société, que ce soit du côté des anti -pour ne pas perdre ce qu'ils jugent être la culture du lieu/pays/groupe- ou du côté des pro -pour pouvoir vivre sereinement dans le groupe/pays/lieu- même si ce sont avec deux approches différentes.
Le vivre ensemble n'est pas acquis de partout et on réclame encore et toujours l'intégration de tous dans la société, que ce soit du côté des anti -pour ne pas perdre ce qu'ils jugent être la culture du lieu/pays/groupe- ou du côté des pro -pour pouvoir vivre sereinement dans le groupe/pays/lieu- même si ce sont avec deux approches différentes.
Pourtant, ce n'est pas le bon combat selon les sociologues.
L'intégration revient à dire "il y a un groupe comme ceci-comme (différent, donc) cela dans le groupe dominant, mais il ne se mélange pas aux autres". Cela revient à dire qu'ils y sont tolérés, sans avoir une place légitime, car non représentatif.
Et il y a l'inclusion, où peut importe votre groupe d'origine, vous faites en réalité tous partis du groupe, de la société. La place de chacun est légitime dans cette société, non pas parce qu'il correspond à un modèle dominant (ou qu'il s'y plie), mais simplement parce qu'il est un être humain.
Alors, aujourd'hui, en ce jour de lutte contre les LGBT-phobie (et non juste d'homophobie comme les médias vont nous le seriner), le voeu que je fais est que vite, très vite, l'ensemble des LGBT+, des MOGAI, ou peu importe l'étiquette avec laquelle vous vous sentez bien, que tous soient inclus dans notre société de plein droit et qu'ils ne viennent plus à personne l'idée de questionner cette présence.
Note :
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